Université de Kisangani, 9 mars 2023. L’exposé du professeur Maindo a porté sur « Les savoirs endogènes et la préservation de la biodiversité : engager les communautés locales et les peuples autochtones dans une cause globale ».
Cette vidéo en langue swahili vise à sensibiliser les agriculteurs du paysage de Yangambi (République démocratique du Congo) sur les multiples avantages de l'utilisation des systèmes agroforestiers dans leurs champs.
À 2 000 kilomètres de Kinshasa, entouré par les arbres et lové au bord du fleuve Congo, se cache un joyau insoupçonné : la cité scientifique de Yangambi. Fondée par les Belges dans les années 1930, elle a longtemps été le premier pôle de recherche mondial en biologie et agroforesterie tropicale. Délaissée après l'indépendance en 1960, miraculeusement épargnée par les guerres du Congo, elle renaît aujourd'hui lentement, grâce au soutien des scientifiques et de bailleurs de fonds.
All around the world, incredible people are working to achieve the Sustainable Development Goals. The #ProudToShare campaign by UNESCO’s Man and the Biosphere Programme (MAB) aims to share their stories and show how communities are making a difference in Biosphere Reserves.
Watch Yangambi Biosphere Reserve’s story to find out how a PhD student is carrying out research on Afromosia, an endangered tree species, showing how the biosphere reserve has been a field for various research projects in the past 30 years.
In this video, they share just of few of their many solutions for people and nature to thrive together. And explore the rest of the #ProudToShare video collection to meet many others across the UNESCO MAB World Network of Biosphere Reserves.
Présentation de la pièce de théâtre « Esuweko » pour sensibiliser les chasseurs de la communauté de Weko (République démocratique du Congo) à l'importance de réduire la vente de viande de brousse.
Une production du CIFOR et les Studios Kabako, financée par l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) et l’Union européenne.
La viande produite localement, comme la chèvre et le poulet, est fraîche, de bonne qualité et de bon goût, et facile à préparer dans de délicieux repas. Soutenez les éleveurs locaux, tout le monde y gagne.
Ce spot fait partie de la campagne #NyamaCongo visant à réduire la consommation de viande de brousse dans la ville de Kisangani.
Helena Fatuma est présidente d'une association locale de femmes de Yanonge qui produit du poisson dans de petits étangs pour approvisionner le marché local. La surpêche pratiquée dans le fleuve Congo fait ressortir un besoin pressant d'alternatives en protéines animales pour nourrir la population locale croissante ; c’est le constat de ce groupe de femmes qui tentent à présent d'apporter des solutions. Sélectionnées par le CIFOR-ICRAF en 2019, elles ont reçu une formation sur les techniques de pisciculture améliorées et les compétences financières. L'association d’H. Fatuma fait actuellement partie d’un ensemble de plus de 60 petites entreprises du paysage de Yangambi qui bénéficient d’un soutien pour développer des activités économiques durables.
La majorité des ménages de la ville de Kisangani utilise le charbon de bois (makala) pour la préparation des repas. Le makala est fourni par les communautés forestières environnantes, dont celle de Yanonge. Alphonse Selemani est l’un des nombreux producteurs locaux, une activité dont les revenus lui permettent d’envoyer ses enfants à l'école. En 2020, il a rejoint une association de producteurs pour planter des arbres dans des systèmes agroforestiers, améliorer ses techniques de carbonisation et acquérir des compétences commerciales. A. Selemani bénéficie de ce type d’appui, comme plus de 300 autres entrepreneurs locaux présents dans le paysage de Yangambi.
La majorité des ménages de la ville de Kisangani utilise le charbon de bois (makala) pour la préparation des repas. Le makala est fourni par les communautés forestières environnantes, dont celle de Yanonge. Alphonse Selemani est l’un des nombreux producteurs locaux, une activité dont les revenus lui permettent d’envoyer ses enfants à l'école. En 2020, il a rejoint une association de producteurs pour planter des arbres dans des systèmes agroforestiers, améliorer ses techniques de carbonisation et acquérir des compétences commerciales. A. Selemani bénéficie de ce type d’appui, comme plus de 300 autres entrepreneurs locaux présents dans le paysage de Yangambi.
Josephine Balila, aussi connue sous le nom de « Maman Fil » travaille à Yangambi, RDC, en tant que sensibilisatrice. Elle a été recrutée par le CIFOR-ICRAF dans le cadre d’un effort de restauration des terres dégradées. Sa mission consiste à négocier avec les communautés locales et de s'assurer de la participation de tous dans les activités de plantation d'arbres. Grâce aux efforts déployés par Maman Fil et l’ensemble de l’équipe de sensibilisation, ce sont environ 700 000 acacias et arbres indigènes qui ont été plantés dans des champs en agroforesterie. Près de 400 personnes participent à chaque saison de plantation à des postes en lien avec la construction, la gestion, la sécurité au travail et le soin aux jeunes plantules.